SOUS LE VITRAIL, Ce que j'entends de Lui
Essai de 132 pages, 30000 mots édité en mars 2011 à compte d’auteur.

Histoire de ce livre
Ce livre est né dans ma tête en 2006. Au fur et à mesure de l’écriture, sa forme et son contenu n’ont pas cessé d’évoluer. Le choix d’imaginer un dialogue avec Dieu me paru tout d’abord osé, avant de m’apparaître impossible, sauf s’il était de l’ordre de la recherche, du mieux vouloir comprendre cette lumière qui passait au travers de mon vitrail ! Ce Dieu dit Tout-Puissant, était aussi un Père qui se veut proche et que l’on ose tutoyer. Et comment pourrais-je l’aimer sans lui parler et chercher à le comprendre ?
Que dit ce livre ? Au travers de 23 chapitres, je vais chercher des réponses à mes questions en abordant une grande variété de sujets : La naissance d’une foi, le silence, la rencontre à la fois confiante mais toujours en cheminant au bord des doutes. La découverte intérieure que l’on sait mal formuler en ce Dieu qui nous rejoint sous les trois formes : Dieu le Père, le Fils qui témoigne et l’Esprit qui voyage et travaille le coeur des enfants d’Abraham et de toute l’humanité. Là où il veut.
Ce livre évoque aussi l’Église de Jésus-Christ, dans sa vocation délicate à l’Universel. La liberté et la responsabilité de l’être humain par rapport à cette terre qui lui est confiée. Il dit la primauté d’un verbe sur les autres : celui d’aimer… Il dit encore l’humilité requise, pour aller plus loin… Pour un avenir de paix à engendrer…
Le lecteur est invité à dépasser les brumes de l’indifférence. Derrière le religieux, devenu parfois anachronique, s’exprime une spiritualité riche et un chemin. Ceux de notre foi en ce Dieu qui est Amour
CE QU’ILS EN DISENT
Avant l’été 2008, le manuscrit prenait forme, j’ai alors sollicité la critique de personnes dont j’extrais quelques témoignages. Ensuite, le manuscrit fut repris pour être enrichi, rendu plus incisif et actuel.
Simple, facile à lire, vrai, sincère, humble et sobre. A éditer !
Françoise David, responsable Presse paroissiale
Le premier mot que j’ai envie de dire, c’est que ça sonne vrai. Un témoignage pour aujourd’hui. Ton vitrail brossé et dépoussiéré répond bien au rôle d’un témoignage d’aider le lecteur à se poser des questions sur son propre cheminement. Oui, tu dois chercher à l’éditer !
Françoise Genoud, scientifique
Un homme parle à son Dieu… Un Dieu façonné par les questions de l’homme qui ne cesse de le chercher… On sent que l’homme veut en découdre… Dieu est convoqué à l’endroit de l’intelligence, pressé de déployer le sens de ce monde et de cet univers… Ce livre est un défi… Il renvoie chacun, à cette tentative toujours inachevée de nommer, de dire son Dieu. Une belle écriture. Mais plus qu’un livre, une expérience singulière…
Jean-Louis Bonneton, diacre
Original, méditatif, impliquant… Un dialogue visant à montrer comment la foi peut « mouiller » une existence pour de vrai. Oui, il faut le faire éditer !
Philippe Mouy, ancien Vicaire Général
Tu fais au lecteur l’offrande de ton patient dépoussiérage de vitrail pour redécouvrir en pleine lumière la richesse et la variété des couleurs sans dogmatisme aucun. Au contraire, avec un continuel souci de recherche de la Vérité qui est toujours devant nous, jamais totalement saisie. L’itinéraire auquel tu nous fais participer est une méditation-dialogue avec ton Dieu. Ce n’est surtout pas une élucubration théologico-moralo-politique…. Je te dois un merci tout fraternel pour ta confiance.
Michel Saillard, théologien laïc
Ce qui frappe d’emblée, c’est la sincérité de la réflexion et de tes questionnements ; c’est aussi l’étendue des domaines abordés qui couvre peut-être l’essentiel de ce qui préoccupe un « honnête homme » du XXIème siècle. Les paroles du Père, telles que tu les fais dire, sont justes et j’ai aimé le ton employé, pas grandiloquent, tendre, parfois très poétique et harmonieux…
Claude Guirlet, un ami parisien
Le livre quasi achevé, j’ai sollicité l’avis de mon évêque qui a accepté de le préfacer. J’extrais quelques lignes de sa préface :
Dieu, tel que le perçoit Aimé Duhamel, est un Père plein de tendresse, proche de chacun, qui ne se lasse pas d’encourager, d’éclairer, de faire avancer au large, sans jamais se laisser réduire au rôle que l’on voudrait lui faire jouer.
A travers ces pages, on est touché de découvrir la relation filiale que l’auteur entretient avec Dieu. Il donne un beau témoignage d’une confiance en Dieu qui n’entrave pas sa liberté de pensée mais qui tend à l’élever.
+Guy de Kerimel, Evêque de Grenoble-Vienne
J’apprécie votre manière directe de parler avec Dieu, ce qui va beaucoup plus loin que parler de Lui, ou – comme on dit dans le Centre – de « parler sur Lui ». Merci à vous.
Albert Rouet, l’archevêque émérite de Poitiers